
Elle: Pourquoi vous posez toujours la question ?
C'est-ce qu'elle m'a répondu après avoir baisé et j'admet sur le coup avoir resté un peu bouché.
Moi: As-tu jouie ?
Elle: Tu ne l'a pas sentie ?
L'Pénis: Son vagin n'a pas contracté...
Les Oreilles: Et ses cries de jouissances n'étaient pas des plus évidents. Il n'y a pas eu d'altercations d'intensités percevable.
Moi: Je ne sais pas si tu as jouie. Et je ne sais pas ce que t'as aimée ou pas. Je suis juste curieux.
Elle: Pourquoi est-ce qu'il faut toujours que ça soit une question de performance ?
La Tête: Ce n'est pas tant une question de performance mais bien pour savoir ce qui est à recommencer ou éviter. Qu'est-ce qui a de mal à tout simplement répondre à la question ?
Moi: Ben, ce n'est pas comme si tu étais la plus expressive au lit et tu ne parles pas. Je te l'ai dit moi lorsque j'étais sur le bord d'avoir un orgasme. Si tu me disais toi lorsque tu étais proche, je ne ferais pas exprès pour arrêter le mouvement ou changer de bords ou de rythme.
Elle: Mais ce n'est pas important un orgasme.
La Tête: Ce n'est pas primordial un orgasme mais c'est quand-même plaisant lorsque ça arrive non ?
Moi: Non mais à force de pas en avoir un moment donné tu vas pas trouver ça un peu redondant ? Et comment est-ce que je vais savoir si tu viens où que tu es sur le bords si tu t'exprimes pas et t'en parles pas ?
Elle: J'ai eu un orgasme.
La Tête: Quand ?
Moi: Ah oui ? Et hum, quand ?
Elle: Pendant que tu... ça me gêne parler de ça.
La Tête: Ben voyont donc. Elle est gênée ?
Moi: C'est important d'en parler je trouve. C'est le fun de savoir où l'on doit se concentrer et qu'est-ce que l'on devrait faire pour améliorer la baise dans le futur. Es-tu clitoridienne ? Vaginale ? Les deux en même temps ?
Elle: Je ne sais pas trop. Je crois que je suis clitoridienne. Ou peut-être un peu des deux. Je ne me casse pas la tête avec ça. Quand c'est bon, c'est bon, c'est tout.
L'Pénis: D'après moi, c'est moi qui l'a fait jouir.
La Langue: Je crois que c'est moi lorsque je caressais son entre-jambes.
Elle: Je suis venue lorsque tu m'as fait un cunnilingus. Je viens plus facilement comme ça.
La Tête: Bon ! C'est déjà un début.
Moi: Alors hum, si je te mange et que tu as un orgamse, voudrais-tu que je continue ou que j'arrête parce que c'est trop sensible ?
Elle: Ben c'est sûr que c'est un peu sensible...
Moi: Donc on va faire un deal. Si tu es trop gênée pour me le dire, et que tu as un peu de misère à te laisser aller, tire moi les cheveux et je comprendrai.
Elle: On peut faire ça.
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Même après quelques mois, j'ai toujours un peu de misère à la sizer. Je suis jamais certain si elle aime ça ou pas.
Moi: Alors c'était bon ?
Elle: Pourquoi est-ce si important de savoir si c'était bon ou pas ?
Moi: Peut-être parce que je ne suis pas égoiste au lit et que je trippe à savoir si tu es excitée ou pas. Mais parce que tu t'exprimes toujours pas beaucoup au lit, j'ai de la misère à saisir si tu aimes ça ou pas.
Elle: Ben non, c'est super bon. Pas obligé de te poser tant de questions... je ne baiserais pas avec toi si c'était pas bon.
La Tête: Peut-être qu'elle fake.
Moi: Fakes-tu des fois?
Elle: Jamais je ferais ça !
La Tête: Peut-être devrions-nous s'abstenir de l'avertir la prochaine fois qu'on est sur le point de l'orgasme et cacher le condom voir comment elle se sentirait ne pas savoir si on est venu à bout...hé hé !